Rue Sherbrooke ouest d'Alice Parizeau
1967, Cercle du Livre de France. ***
Lu pendant les vacances de Noël. Un immigrant polonais désabusé gagne péniblement sa vie avec un boulot de serveur dans un resto plutôt chic. Ancien résistant contre les nazis dans son pays natal et militant communiste désillusionné, il n'a plus de raison de vivre. Mais deux femmes très différentes s'intéressent à lui et une enfant mal aimée donnera un sens à son existence.
À peine un mois que j'ai lu ce roman, et je m'en rappelle déjà à peine. La petite musique du désespoir tranquille est pourtant très bien fredonnée par Alice Parizeau et ses personnages sont bien campés et intéressants... Certaines conneries s'impriment plus fortement dans ma mémoire littéraire... Une vraie honte!
Lu pendant les vacances de Noël. Un immigrant polonais désabusé gagne péniblement sa vie avec un boulot de serveur dans un resto plutôt chic. Ancien résistant contre les nazis dans son pays natal et militant communiste désillusionné, il n'a plus de raison de vivre. Mais deux femmes très différentes s'intéressent à lui et une enfant mal aimée donnera un sens à son existence.
À peine un mois que j'ai lu ce roman, et je m'en rappelle déjà à peine. La petite musique du désespoir tranquille est pourtant très bien fredonnée par Alice Parizeau et ses personnages sont bien campés et intéressants... Certaines conneries s'impriment plus fortement dans ma mémoire littéraire... Une vraie honte!
0 Comments:
Post a Comment
<< Home